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Comment faire pour résoudre une crise d'identité

Avant Freud radicalement perturbé la vision orthodoxe de l'identité, la pensée conventionnelle considérée comme un attribut innée, qui se déroule naturellement avec la maturation jusqu'à ce qu'un individu atteint son destin, son identité naturelle. Les conflits d'identité ont été considérées comme des maladies. Mais avec des découvertes capitales de Freud sur le fonctionnement de l'inconscient, on ne pouvait posséder une identité stable. La subjectivité humaine implique inéluctablement une dimension active, mais inconscient, une dimension qui divise inévitablement identité. Quoi que quelqu'un croit à propos de lui-même, une partie dissidente de sa personnalité va résister et conflit avec son (ou préféré) avis «autorisé». Résolution implique d'apprendre à écouter ces points de vue contradictoires internes.

Choses que vous devez

  • Carnet de poche Portable
  • Stylo à bille
  • Une chambre calme et de repos
  • Un fauteuil ou un canapé confortable

Intégration - la clé de la guérison sur les conflits identitaires

  1. Psychanalyste Adam Phillips a décrit l'inconscient comme cette voix intérieure qui rejoint dans nos conversations quotidiennes sans jamais montage en Cela vaut pour dialogues intérieurs, trop -. Omniprésentes ces débats internes gens de partout avec des interlocuteurs imaginaires stade. Résoudre les conflits d'identité consiste à vivre avec les versions concurrentes de nous-mêmes, les parties de la personnalité qui résistent conformité avec les normes coercitives, les conventions sociales et les services sociaux. Méfiez-vous des astuces certains esprits humains jouent généralement avec ces autres points de vue, cependant. Fractionnement et projection compliquent le processus d'écoute.




  2. Essayez de vous asseoir dans une pièce calme seul. Relax - Freud a encouragé ses patients de se reposer sur un canapé - et laissez votre esprit vagabonder. Imaginez vos pensées comme des scènes en passant par comme si vous étiez sur un train en marche en regardant à travers une fenêtre. Faites cela pour pas plus de 50 minutes, mais prendre l'habitude de le faire chaque jour, ou au moins plusieurs fois par semaine. Ne vous inquiétez pas trop à propos de "compréhension" ce que vous vous trouvez penser encore, mais conserver des notes dans votre bloc-notes à propos de ce qui se passe pour vous. Si une pensée empiète spontanément dans votre esprit ailleurs, notez-le dès que vous le pouvez.

  3. Comme Adam Phillips a fait valoir, ce qui vous arrive de penser est souvent plus instructif que ce que vous essayez de penser. Prenez note de ce qui relève de vos poches mentales, dans la terminologie de Phillips, plutôt que de se concentrer sur une question spécifique. Vérité glisse à nos pensées, en dépit de nos intentions, mais fait rarement une apparition sur commande. Comme vous écrivez vos pérégrinations mentales, avis qui préoccupe vos pensées, ce qu'ils vous disent et comment ils le disent. Si vous le pouvez, notez les rêves de votre nuit précédente au réveil de la même manière.



  4. Rappelez-vous: les «autres» dans vos pensées ne sont pas de vraies personnes. Psychanalyste Joyce McDougall suggère la pensée de votre esprit comme un théâtre - vous sélectionnez tous les «acteurs» qui apparaissent dans vos rêves et vos pensées et de leur donner les lignes qu'ils parlent, même si vous basez sur des événements réels. Ce qui reste dans votre esprit revient à un choix - nous ignorons tous certaines choses et accrocher à d'autres. Maintenant, pour la partie la plus difficile: penser à ces autres, peu importe la façon désagréable, discordante ou de plaine excentrique ils apparaissent, comme des aspects non intégrés de votre propre personnalité, les parties de vous-même vous préfèrent attribuer à d'autres personnes.

  5. Par exemple, un collègue agressif grossier qui vous déplaît au travail peut représenter une version plus affirmée et plus abrasif de vous-même, en contradiction avec votre propre conformité auto-suffocante et la conformité. Un patron intimidant pourrait représenter un aspect dur de votre propre conscience, que vous surcompenser dans votre comportement réel à travers l'auto-destructrice permissivité ou la générosité excessive. Un ami d'avoir une liaison peut représenter un côté plus aventureux à votre personnage normalement prude et sévère - et ainsi de suite. Qu'est-ce que vous remarquez dans le monde coïncide souvent avec ce que vous désirez, mais vous refusez.

Conseils Avertissements

  • Les patients en psychanalyse résistent à cette façon de penser sur de longues périodes avant de se sentir en mesure d'intégrer les dissidents «autres» qui peuplent leurs esprits. Presque certainement vous aussi. Essayez de garder les pièces au moins la possibilité vivante que ces préoccupations représentent reniées de vous-même.
  • Rappelez-vous, en acceptant penchants agressifs, aventureux, ou amoureuses, ou ceux même de sournoiserie, rancuniers et excentriques, ne signifie pas que vous avez à les adopter. Vous gagnez plus d'influence sur vous-même, et non moins, en prenant la responsabilité pour les bits de votre personnalité que vous souhaitez préalablement projetée sur d'autres.
  • Si vous devenez effrayé ou confus par cet exercice, arrêter. Vous devriez envisager de demander thérapie personnelle pour vous aider à composer avec les conflits. Beaucoup de gens ont besoin d'un compagnon sage de les accompagner dans ce voyage intérieur.
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