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Comment contre-interroger un témoin à la cour de la famille

Si vous ne l'avez jamais vécu un divorce ou d'une poursuite civile devant, votre seule connaissance de la procédure judiciaire peut provenir de films et programmes de télévision où les avocats de bouledogue déchirent les témoins de l'autre partie en lambeaux sous brutale contre-interrogatoire. Bien que des détails des essais varient d'un État à État, vous serez probablement essayez votre cas de droit de la famille devant un juge, et non un jury, qui a une grande expérience non seulement de décider des affaires nationales, mais aussi les plaider elle-même. Cela exige une technique contre-interrogatoire que se concentre moins sur théâtralité et plus sur les failles dans le cas de votre adversaire.

Instructions

    • 1

      Préparez-vous à contre-interroger les témoins en examinant attentivement tout le matériel d'essai bien à l'avance et de les ré-examiner toutes les chances que vous obtenez au cours du procès. Possédant une connaissance approfondie des faits vous aidera à repérer les incohérences ou les taches minces dans une déposition du témoin. Votre travail en contre-interrogatoire est de mettre en évidence ces incohérences et de montrer comment le juge fiable la mémoire de témoin est.

    • 2



      Développer une théorie de l'affaire avant le procès. Pensez conclusions que vous voulez la Cour de tracer - la mère de votre enfant est couché sur combien elle gagne comme un salon de coiffure, par exemple - et de penser des faits qui appuient cette conclusion. Mettre en évidence ces faits en contre-interrogatoire. Une erreur courante consiste à intimider une conclusion d'un témoin, mais la mère de votre enfant ne sera probablement pas avouer à mentir sur son revenu. Au lieu de cela, lui faire admettre sur le stand qu'elle est en cours sur son loyer et toutes ses factures, qu'elle a acheté une nouvelle voiture l'année dernière et qu'elle a juste pris vos enfants à la plage pour une semaine. Enregistrer les conclusions de votre plaidoirie.

    • 3

      Poser des questions. Alors que vous pourriez ne pas être autorisé à le faire à l'examen direct de vos propres témoins, votre contre-interrogatoire devrait être sous la forme de questions péremptoires qui exigent une réponse oui ou non du témoin. Vous n'êtes pas fait pour lui demander anything- vous lui dire la réponse et à la faire préciser si elle est vraie ou fausse. Au lieu de "Où étiez-vous le week-end," vous devriez demander "Vous êtes allé à Myrtle Beach week-end dernier, est-ce pas?" Poser des questions ouvertes est parfois nécessaire mais il faut éviter comme la peste.

    • 4


      Reconnaître quand arrêter. Certains témoins seront donc extrêmement positive pour l'autre côté que rien que vous pouvez faire sur la croix les désarmer. Si vous ne pouvez pas discréditer leur témoignage en quelque sorte par le contre-interrogatoire, les sortir du stand dès que possible. De même, une fois que vous avez marqué vos points en contre-interrogatoire d'un témoin, quittez poser des questions et de progresser. Ne pas lui donner une chance de tourner les tables sur vous.

    • 5

      Reconnaître quand vous ne devez pas contre-interroger un témoin. Certains témoins ne seront pas dire ce que vous n'êtes pas d'accord avec- d'autres ne dira rien de pertinent. Ne pas essayer de patience et de perdre un temps précieux du juge sur un contre-interrogatoire qui ne sera pas de produire quelque chose de valeur pour votre côté.

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